Du sang d'adolescents dans les pâtisseries de Pourim (IMRA)
« © Memri, pour la traduction anglaise de l'original arabe, traduction de Corinne Boukobza, mise en page et mise en ligne originelle de www.reinfo-israel.com, le 15 mars 2002 »


Extrait du Journal quotidien du gouvernement saoudien Al-Riyadh (1)

Le journaliste Dr. Umayma Ahmed Al-Jalahma de l'Université du Roi Faysal d'Al-Dammam, a rédigé un article sur la fête juive de Pourim, pour le quotidien saoudien Al-Riyadh. Vous trouverez ci-dessous des extraits de cet article.


Un ingrédient spécial est utilisé au cours de la fête de Pourim, le sang d'adolescents non juifs

J'ai choisi de traiter de la fête juive de Pourim, car elle est en relation avec le mois de mars. Cette fête est constituée de certaines coutumes dangereuses qui vous terroriseront sans nul doute, et je présente d'avance mes excuses pour tout sentiment d'horreur infligé à certains de mes lecteurs.

Au cours de cette fête, le Juif doit préparer des pâtisseries très spéciales, dont la garniture n'est pas seulement coûteuse et rare, elle ne peut, en outre, pas être achetée sur le marché local ou international.

Cette garniture indispensable ne peut malheureusement ni être omise, ni être remplacée par une quelque autre préparation susceptible de remplir la même fonction. Pour cette fête, les Juifs doivent obtenir du sang humain, afin que leurs prêtres puissent préparer les pâtisseries propres à Pourim. En d'autres termes, la fête ne peut être célébrée selon l'exigence de la coutume, si du sang humain n'est pas versé !

Avant de fournir plus de détails, je voudrais confirmer le fait que les Juifs utilisent du sang humain pour préparer leurs pâtisseries de fêtes; c'est un fait bien établi, historiquement et juridiquement, tout au long de l'Histoire. Ce fait constitue l'une des raisons essentielles de la persécution et de l'exil, qui furent le lot des Juifs en Europe et en Asie, à diverses époques.

Cette fête (Pourim), commence avec un jeûne, le 13 mars, à l'instar de la Juive Esther, qui fit le vœu de jeûner. La fête se prolonge le 14 mars. Pendant la fête, les Juifs se vêtent de masques et de costumes de carnaval, se gavent d'alcool et se vautrent dans la prostitution et l'adultère. Cette fête est devenue célèbre parmi les historiens Musulmans comme "la Fête des Masques".


Comment les Juifs puisent le sang de leurs jeunes victimes

Qui fut Esther et pourquoi les Juifs la glorifient et l'imitent, tout cela sera exposé dans mon article de mardi prochain, si Dieu veut (2). Pour l'heure, je me contenterai de vous expliquer comment le sang est prélevé afin d'être utilisé pour leurs pâtisseries de fête. Le sang est obtenu d'une manière particulière. Comment cela se passe-t-il ?

Pour cette fête, la victime doit être un adolescent sain, un non-Juif, cela va de soi, c'est-à-dire un Chrétien ou un Musulman. Son sang est puisé, puis séché en granulés. Le prêtre incorpore les granulés dans la pâte destinée aux pâtisseries; ces granulés peuvent également être réservés pour la fête suivante.

Par contre, pour le sacrifice de Pessah (à propos duquel j'ai l'intention de rédiger quelques lignes prochainement), c'est du sang d'enfants Chrétiens ou Musulmans âgés de moins de 10 ans qui doit être utilisé, et le prêtre peut incorporer ce sang (à la pâte) avant ou après sa déshydratation.


Les actions des vampires Juifs leur procurent du plaisir

Examinons maintenant comment le sang des victimes est obtenu. Pour cela, on utilise un tonneau garni d'aiguilles. Il s'agit d'une sorte de tonneau de la taille d'un corps, pourvu d'aiguilles très effilées placées sur toute la surface du tonneau. (Ces aiguilles) percent le corps de la victime dès l'instant où elle est placée à l'intérieur du tonneau.

Ces aiguilles remplissent leur rôle, et le sang de la victime s'écoule très lentement. La victime subit donc un supplice effroyable - supplice qui procure aux vampires Juifs une grande délectation, tandis qu'ils contrôlent chaque détail de l'effusion de sang avec un plaisir et une jouissance difficiles à imaginer.

Après ce spectacle barbare, les Juifs mettent le sang versé dans la bouteille qui se trouve dans le fond (du tonneau hérissé d'aiguilles), et le prêtre juif met le comble au bonheur de ses coreligionnaires au cours de la fête en leur servant des pâtisseries mêlées de sang humain.

Il y a un autre moyen de faire couler le sang. La victime peut être égorgée comme on le fait pour une brebis, et son sang est recueilli dans un récipient. Ou bien on peut inciser ses veines en différents points et laisser le sang s'écouler de son corps.

Ce sang est recueilli avec soin – comme je l'ai déjà fait remarquer – par le 'rabbin', le prêtre juif, spécialisé dans la préparation de ces sortes de pâtisseries.

L'espèce humaine se refuse même à regarder les pâtisseries juives, et bien entendu à les préparer ou à les consommer !

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© The Middle East Media Research Institute (MEMRI)

(1) Article paru dans Al-Riyadh (Arabie Saoudite), le 10 mars 2002.

[2] Dans la seconde partie de l'article (12 mars), l'auteur raconte l'histoire du Livre d'Esther et conclut : "Depuis lors, l'Ancien Testament, le livre saint juif, exige que les Juifs magnifient cette fête et manifestent leur joie. La joie ne peut être complète qu'avec la consommation de pâtisseries mêlées de sang humain."

 

 

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